Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Impressions voyages

Archives
Impressions voyages
8 octobre 2012

Et la suite.... en 2012 ?

2012 : Le Népal pour un treck en avril et l'île de la réunion pour un autre treck en novembre.

Publicité
6 août 2011

Maroc, New York

Depuis l'Inde en avril : Maroc en mai/juin pour une expédition entre copains à VTT dans le moyen et Haut Atlas et puis en juillet/août New York.

23 mars 2011

Mardi 23 MARS 2011

Nous sommes arrives hier matin a New Delhi. Je reprendrais la chronologie des evenements des que possible. Pour l instant nous sommes loges dans le superbe petit hotel de charme d une petite ville situee a plus de 200 km de New Delhi, mais harasses. Et ce n est que la premiere journee de moto. Nous avons pris possession ce matin, et dieu sait combien nous etions impatients, de nos Royal Enfield, la mytique moto indienne concue dans les annee 50. Nous avons compris ce soir pourquoi cette moto fait encore les beaux jours des motards enfants de Krishna. Il falait bien une moto comme ca pour circuler sur les routes d ici. Aucune de nos motos en France ne pourrait resister longtemps au regime auquel, des la premiere journee, nous les avons soumises. C est plutot nous qui sommes un peu casses ce soir. Mais heureux d avoir vaincu nos apprehensions et l inconnu de la machine, surmomte les pieges de la route et les embaras de la circulation. Deja ce soir les recits de mes 9 compagnons sont pleins d actes heroiques et de dangers braves. Enfin voila nous sommes heureux. Je crois bien que nous allons arroser cela. A de;ain

8 décembre 2010

Mise au point sur quelques évènements passés

Plus d'un an est passé depuis le dernier point. Fainéantise, découragement, vanité des vanités. Plus de flamme pour poursuivre la description (un peu narcissique) de mes pérégrinations.
Aventures, il faut bien le reconnaître un peu minces aux regards des grands explorateurs du monde et de mes idoles. Il n'y a plus de terre inconnue à découvrir. Sauf soi même : quête infinie aux profondeurs abyssales, insondables... ou alors désespérément évidentes !
Alors quelles vraies peurs encore pour éprouver sa bravoure ? (Je vous épargne la bravitude de Ségolène). Pour bousculer l'ordinaire ? Pour faire de soi un découvreur, au delà des murs ? Il y a sûrement d'autres aventures exaltantes, magnifiques à vivre. Rêvons, bâton de pèlerin à la main. Partons à nouveau. Même pour des destinations courues, des sentiers battus. Tant pis pour l'héroïsme, n'est pas Tintin qui veut.

Juste volontaire. Même vaines et banales et... impudiques ? Tant pis osons ! C'est toujours ça de fait !

Alors, tiens, pourquoi pas un petit tour encore? ... Parce que quelques encouragements auront suffit pour reprendre le clavier. (Merci à toi).

Partir, bouger, remuer, voir, visiter, cheminer, courir, rencontrer, tenter, essayer, apprendre, acquérir, bousculer, franchir, braver, surmonter, découvrir, aimer et partager, mais nom d'une pipe, on est là pour ça! Quoi d'autre voulez vous ?

Bon alors, j'ai quelques périples effectués depuis le retour de Bali : le Vénézuella, l'ascension du Roraïma et sa faune sauvage, l'Orénoque et ses oiseaux rouges, et puis aussi les vers de souche en décomposition à manger (beurk) le Burkina Fasao et sa charge d'éléphants en colère, la Tunisie, le sable et les dunes de Douze en 4X4, les Pinguinos en Espagne et le froid jusqu'aux os et bientôt la Royal Enfield dans la chaleur du Rajasthan. C'est d'accord, je continue. Ne m'en veuillez pas.

Allez pour ce soir ce sera tout.

31 octobre 2009

Retour et ... départ

Je suis revenu à Rennes pour quelques jours. Je retrouve Geneviève et quelques amis et... je me prépare à repartir dans quelques jours.............

Cette fois çi, je prépare mes bagages pour le Venezuela où je pars pour un treck dans les montagens du Roraïma et le delta de l'Orénoque.

Publicité
26 octobre 2009

Bali, c'est fini

Aujourd'hui 26 octobre me voilà de retour à Bangkok. Je suis arrivé hier tard dans la soirée et j'ai retrouvé le même confortable hôtel que la semaine dernière.

La semaine à Bali en compagnie de mes amis Nancy et Alain et de leurs enfants Kristele et Hugo a été un intermède de repos et d'amitié. Point de tourisme mais plages, bains de mer et massage, restaurants en ville ou sur la plage, excursions en scooter, conversations à perte de vue, couchers de soleil, visite d'ateliers, de chantiers et de quelques bars.

P1050864Bali et Kupa et Legian destination mythique ? Paradis des surfeurs? Gloire, amours et beauté comme à Saint Trop ? C'est une vie facile et moins chère qu'en France. Pas trop de tracasseries administratives ni beaucoup d'impôts pour les résidents. Havre de paix à l'abri des grands problèmes mondiaux. Les français viennent s'installer en masse ici et font construire des maisons pour des prix très avantageux, voire dérisoires. Sea, sun and sex... Lieu privilégié d'une "jet set" cosmopolite et... plus provinciale qu'à Saint Trop!

Mais aussi une chaleur étouffante, une population grouillante, une pauvreté dramatique et la prostitution qui généralement l'accompagne. Peu, très peu de service public et de réglementation, de la corruption, pas de système social, ni d'assurance maladie. La ville est sale, aux trottoirs et à la chaussée défoncés couverts d'immondices. La circulation y est invraisemblable et dangereuse. Les plages de bric et de broc, vivent apparemment sans plan d'occupation ni nettoyage organisé. Pour le luxe, pas encore très important ici, c'est aussi cher qu'ailleurs. Pas de cinéma, de théâtre, d'opéra. Peu de livres.

Beaucoup d'étrangers, notamment les français, viennent lancer leurs affaires et réussir très bien d'ailleurs (tout ici est beaucoup plus simple qu'en France). La vie économique balinaise n'est certes pas aussi explosive, loin s'en faut, que celle des pays du Sud Est asiatique, mais c'est une très bonne base de lancement pour les affaires. Et c'est aussi, bien sur, un lieu de retraite privilégié hors du stress français, en communauté avec une population cool, souriante et accueillante. N'est-ce pas ici l'île "bénie des dieux" ?

Voilà, je suis revenu à Bangkok et je prends l'avion ce soir pour Paris. En attendant je vais aller faire un peu de choping en ville dans les "plus grands magasins du sud est asiatique" et déjeuner dans la rue auprès des ces petites boutiques ambulantes qui vous offrent un repas pour l'équivalant d'un euro !

Mon tour du monde s'achève donc dans quelques heures devant un  petit crème gare Montparnasse et dans les bras de Geneviève que je retrouve demain midi dans la gare de Rennes.

Le tour sera joué !

23 octobre 2009

Le 23 octobre a Bali

Non, le voyage n est pas termine. C est seulement qu ici a Bali, il fait tellement chaud et la vie y est si tranquile que pas trop envie d ecrire. A Bangkok ou je serai de retour apres demain, je reprendrai un peu le fil avant de rentrer en France. Bon, la c est pas le tout mais il faut que je parte a la plage, mon parasol m attend. Ah la la quelle vie.
J ai aussi goute les delices du scooter et de la conduite dans les rues de Legian. Je peux vous dire que c est reellement sportif.
A plus je vais boire un bon jus de fruit du pays et j y vais.

19 octobre 2009

Bangkok le 19

Que faire quand on se réveille de bon matin dans un ville inconnue ? La première chose c'est de prendre un bon breakfast. Ensuite rechercher sur internet des info sur la ville. Puis aller chercher de la monnaie locale et demander un plan de la ville à votre hôtel. Après ça, vous pouvez partir à la découverte. Ne pas prendre bêtement le taxi mais le métro. Pourquoi ? En descendant à la station voulue, j'avise un gars du type routard (mollet tatoué, tongs à pieds sales). Je lui dit "Je suppose que vous allez là" en pointant mon doigt sur le plan. Il me répond "yeah" c'était un américain. Du coup nous avons visité ensemble le Wat Phra Kaew Grand Palace, PICT0257cheminé le long de la rivière, longé(seulement) le National Muséum avant d'aller déjeuner dans le fameux quartier routard de Khao San Road. Puis visite du Golden Montain (la où les fidèles recouvrent leur boudha préféré de feuilles d'or). Plus tard j'ai laissé mon américain dégoulinant complètement épuisé par la chaleur etPICT0252 la marche à pieds. Comme je n'avais qu'un jour de visite j'ai tenu absolument à marcher en centre ville. Là, c'est absolument fantastique. J'avoue que cela m'interpelle plus que Bouddha. C'est une ville complètement au top de ce que peut faire l'urbanisme futuriste. Impensable de voir ça en France. Pourtant tout ce qui peut être de la French touch de la mode est là, en force. C'est un grouillement extraordinaire dans tout l'espace disponible de la ville. Le métro aérien dessine avec les routes suspendues, les passerelles (SkywalkSkywalk) un embrouillamini de voies entremêlées dans la lumière partout présente. Les grands magasins crachent de puissants et bienfaisants courants d'air frais pour attirer le chaland. Bref, un peu bluffé le gars. PICT0289Mais voudrai-je y vivre ? Non, impossible. C'est pas vraiment cool.

17 octobre 2009

Last day at Saïgon

Bonjour les amies et les amis, enfin tout le monde quoi. La famille, les copains, les visiteurs, etc,...

La chaleur ce matin est encore plus étouffante qu'à l'accoutumée. La pluie torrentielle d'hier soir a augmenté encore le degré d'humidité qui, ajouté à une température de 30°C, achève de me transformer en quelque chose de flasque et collant. Un dernier tour à la poste centrale pour écrire et poster mes cartes. C'est une foule compacte de touristes, bananes sur leurs ventres rebondis augmenté de leurs caméras, qui s'entassent à peine sortis du bus sur le parvis de la cathédrale. Quel succès le tourisme ici ! Le guide nous disait hier à quel point les étrangers arrivaient en masse dans leur pays. Ça cartonne un max.  Après la "libération" ce sont les français qui sont arrivés en premier. Mais depuis un dizaine d'années, les anglo-saxons débarquent comme des essaims d'abeilles. Ils font leur miel de paysages intacts et d'une population qui vit encore des traditions millénaires. Ça leur en bouche un coin, non. (Ah oui, ne pas oublier que je suis aussi un touriste; mais j'ai pas de banane sur le ventre et je fais un régime).

J'avais envie d'aller au Musée des Beaux Arts pour changer et puis je suis chargé de mon sac à dos. Pénible. Donc en attendant mon taxi qui devrait arriver dans 2 heures et bien je me fais un bon restaurant confortable avec air conditionné, musique sympa et Wifi. Ce soir à Bangkok peut être aurai-je le courage de vous dire si quelque chose s'est passé. Sinon à demain.

Le prix du taxi a beaucoup augmenté depuis mon arrivée l'autre jour. Il a pris deux dollars au passage. Il faut dire que je ne suis pas passé par une officine agrée comme on en trouve à l'aéroport. Cette fois çi par facilité, j'ai demandé au garçon de l'hôtel de me commander un taxi. En fait, il y en avait plusieurs là en bas qui attendaient le chaland. Tans pis, le brave garçon aura pris sa com et c'est très bien comme ça.

Arrivé très en avance dans l'aéroport; j'aime bien l'ambiance des aéroports. C'est un espace très particulier, une sorte de "Stargate". On arrive à l'aéroport, on est encore là à Saïgon par exemple. Par des couloirs étroits on nous fait rentrer dans une sorte de tube à roulettes avec des sièges à l'intérieur, on voit rien, on s'attache au fauteuil parce que ça remue pas mal et Hop, Magique, quand on nous en fait ressortir un peu plus tard on est dans un autre monde à des milliers de km. Fascinant non ?

En revanche, ce qui est moins magique mais tout aussi habituel c'est le manque d'amabilité des boutiques à sandwichs. Je dois avoir mauvais caractère. Je préfère ne pas manger plutôt que d'avoir à répéter trois fois ce que je demande à une personne portant un masque, occupée à une autre tâche et m'écoutant distraitement. Et comme je n'aime pas parler fort, tout ça m'agace. Je dois avoir mauvais caractère. Les gens sont avachis dans les sièges d'attente ou bien ils en occupent trois à la fois pour dormir ou bien parlent fort la bouche pleine - on voit dedans - occupent l'espace avec leur bagages et on ne peut plus passer. Ça m'agace. Les routards sont partout avec leurs grands sacs à dos, leur mollets tatoués et leurs tongues à pieds sales. Les vieux touristes sont empotés et mes copains routards ça ressemble à une engeance sectaire. Tous habillés pareil, ils sillonnent le monde sans bourse délier, eux. Je dois avoir mauvais caractère. Par moments, le petit nid douillet où j'habite me manque, voire même beaucoup... mes charentaises, ma petite femme (ou bien le contraire).

Puisque les vendeurs de sandwichs sont mal embouchés, je vais une fois enregistré au restaurant au dessus. Un restaurant chinois de SingapourSingapour installé là. Surprise, c'est un des meilleurs plats que je mange depuis mon arrivée en asie. Voilà, la bête est réconfortée.

Quel choc à l'arrivée !

Après Saïgon voici l'ère du gigantisme, un aéroport énorme, des routes impeccables et ultra larges, des taxis un peu spéciaux, des voitures en nombres, des autoroutes suspendues et des grattes ciel qui se pointent en arrivant en ville. Le tout servi par une chaleur humide et étouffante. Ce soir j'aurai un Hôtel luxueux, frais comme il faut. J'arrive trop tard pour en sortir. Une bonne douche et un peu de farniente me vont très bien. A l'accueil, le concierge se plie en deux à chaque fois que je termine une phrase. Non, il ne rit pas, il s'incline en joignant les mains sur sa poitrine. J'ai l'impression d'être devenu Bouhda sur terre.

16 octobre 2009

Le 16 octobre : TÂY NINH et CÙ CHI

J'ai rêvé souvent de voir un jour le Temple d'Angkor. En préparant mon voyage, je n'avais pas imaginé que j'en serai si près. Dommage, j'aurai pu effectivement poursuivre ma navigation sur le Mekong jusqu'au Cambodge, puis atteindre Pnom Penh et Angkor. Et regagner la Thaïlande en bus par exemple. Mais il me fallait revenir à Saïgon où j'avais laissé mes bagages. C'est pourquoi aujourd'hui, je suis réduit à visiter les horreurs de la guerre présentées avec fierté par nos amis vietnamiens. Il faut dire qu'avec trois bouts de ficelles, ils ont réussi à vaincre l'armée la plus puissante du monde. Il est bien évident qu'aucun GI n'aurait pu vivre la vie des vietcongs dans cette jungle. La soupe ne devait pas y être très bonne, ni le confort des tunnels. Moi qui ne suis pas claustrophobe, la balade dans l'étroit boyau souterrain m'a un peu éprouvé. Et celui là, il est deux fois plus large que ceux utilisés par les communistes.

Autre visite mais marrante et haute en couleur celle là, c'est la découverte des adeptes de la religion CAO DÀI. P1050815Une religion dite syncrétique qui réuni 7 autres religions (sans compter leur adoration pour Victor Hugo). Il ne leur manque plus que de rajouter l'athéisme et ce serait vraiment syncrétique. Mais c'est bien sympathique tout de même, belles tenues, belles couleurs. P1050806P1050821

C'est "stylé" comme disent les gamins

Au fil des heures et des jours je commence à comprendre la nostalgie qu'ont encore les anciens colons d'un paradis perdu. Ils en sont partis par la petite porte en laissant derrière eux quelques maigres traces. Les américains y sont déjà revenus, par la grande porte, pour exploiter avec le peuple vietnamien les énormes richesses d'un pays ambitieux. Paradoxalement, si le parti communiste a effectivement conquis le pouvoir dans ce pays, c'est un capitalisme débridé avec l'aide des anciens vaincus qui domine vraiment la vie quotidienne ici. Curieux non ?

En rentrant avec le bus ce soir, une marée humaine juchée sur 4 millions de vélos moteurs. Hallucinant.

Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Impressions voyages
Publicité
Publicité